Alexander Zorbach, ancien flic devenu journaliste va se retrouver impliqué dans une enquête policière. Le meurtrier est un homme surnommé par les médias berlinois "le voleur de regards".
Âmes sensibles, s'abstenir. Le voleur de regards est un vrai sadique.
Son modus opérandi : le corps d'une femme est découvert, nuque brisée, avec un chronomètre se déclenchant à la découverte du corps et indiquant 45 heures et 7 minutes.
C'est le temps donné au mari pour retrouver leur fils kidnappé. Passé ce délai, l'enfant mourra étouffé et sera retrouvé énucléé.
Cette fois-ci, au lieu du père, c'est Zorbach qui découvre le corps d'une femme qu'il aime. En voulant retrouver l'enfant de cette dernière, il va paraître aux yeux des autres et il faut bien le dire, aux yeux du lecteur aussi, un coupable tout désigné. A moins que le voleur de regards ne soit une femme ! Dans ce cas, nos soupçons pourraient alors très bien se porter sur le personnage fascinant de la physiothérapeute aveugle, acolyte de Zorbach dans cette enquête...
Ce roman, course contre la montre, chapitré à rebours, va vous faire agoniser d'angoisse et découvrir, à vos dépends, la théorie du perpetuum mobile...Ha ! Ha! Ha! (rire diabolique).
Hé hé hé ça donne envie, ce post ! Il est sur la liste de mes prochains achats !
RépondreSupprimerOdile